Nous savons que nos clients ont des besoins et des régimes alimentaires. Nous avons donc estimé qu’il était important d’aborder les principaux choix et allergies alimentaires, tout en prodiguant des conseils en la matière. Tanya Thomas, diététicienne agréée et membre de l’association britannique de diététique, a gentiment accepté de rédiger cette section pour nous.

Intolérance au lactose

L’intolérance au lactose est une intolérance alimentaire commune caractérisée par des crampes d’estomac, des gaz, des ballonnements et de la diarrhée après l’ingestion de lait de vache. Le lactose est le sucre présent dans le lait. Il est dégradé dans notre système digestif par une enzyme appelée lactase. Les personnes intolérantes au lactose ne sécrètent pas suffisamment de lactase. Résultat ? Le lactose non digéré fermente dans l’estomac sous l’effet des bactéries. L’intolérance au lactose peut être temporaire, par exemple après une grippe intestinale, ou permanente. Cette affection est plus fréquente chez les personnes d’origine asiatique et afrocaribéenne.

En cas de suspicion d’intolérance au lactose, il est essentiel de consulter un médecin qui posera en général son diagnostic en excluant le lactose du régime alimentaire. Il arrive que des tests complémentaires soient nécessaires pour confirmer le diagnostic. La gravité de l’intolérance au lactose varie. De petites quantités peuvent déjà poser problème pour certains, tandis que d’autres tolèrent un verre de lait. Tous les produits de Koko sont exempts de lactose et sans danger pour les personnes intolérantes au lactose. Source d’informations utiles : www.nhs.uk/conditions/lactose-intolerance.

Les produits Koko ne contiennent pas de lactose et ne présentent donc aucun danger pour les personnes qui y sont intolérantes.

Allergie aux protéines de lait de vache

L’allergie aux protéines de lait de vache ou APLV et l’intolérance au lactose sont deux affections différentes. L’APLV est une réaction allergique à la protéine que l’on trouve dans le lait. Les symptômes dépendent du type d’anticorps concerné. Certaines réactions impliquent des anticorps appelés IgE. Il s’agit alors de réactions induites par les IgE. Celles-ci provoquent l’apparition rapide de symptômes tels que des éruptions cutanées, de l’urticaire, un souffle court, de la diarrhée, des vomissements et dans des cas extrêmes, des difficultés respiratoires et une anaphylaxie. Si les symptômes apparaissent a posteriori – par exemple eczéma, gaz, coliques et reflux – les IgE ne sont pas concernées. On parle alors de réactions non induites par les IgE.

L’APLV est une allergie alimentaire fréquente chez les bébés et les enfants dont les symptômes apparaissent pour la première fois au moment de l’introduction du lait de vache dans l’alimentation. L’APLV qui se manifeste directement est diagnostiquée grâce à une analyse de l’historique d’alimentation et des symptômes associée à un prick test ou test cutané ou à une prise de sang axée sur un anticorps spécifique. Les réactions retardées sont diagnostiquées par le biais d’une exclusion et d’une réintroduction minutieuses du lait de vache sous la supervision d’un médecin traitant, d’un diététicien ou d’un autre professionnel de la santé. Le pronostic en cas d’ALPV est bon puisque la plupart des enfants ne présentent plus de symptômes à l’âge de 5 ans. De nombreux enfants qui présentent une ALPV sont également allergiques à la protéine de soja. Les produits Koko ne contiennent ni protéine de lait de vache ni soja.

Si vous souhaitez en savoir plus, rendez-vous sur www.nhs.uk/common-health-questions/childrens-health/what-should-i-do-if-i-think-my-baby-is-allergic-or-intolerant-to-cows-milk/.

Trouver une alternative au calcium lorsque l’on suit un régime sans produit laitier

Le lait et les produits laitiers constituent une excellente source de calcium. Dès lors, chez les personnes atteintes d’APLV comme chez celles qui présentent une intolérance au lactose, le calcium est un nutriment essentiel à remplacer. Le calcium joue un rôle important au niveau de la solidité des os et des dents, du bon fonctionnement de la coagulation, des muscles et du système nerveux. La teneur en calcium des substituts de lait, de yaourt et de fromage Koko est aussi élevée que celle des produits à base de lait de vache.

À noter : les laits Koko (à l’instar du lait de vache) ne conviennent pas comme boisson principale chez les enfants de moins de 2 ans. Ensuite, ils peuvent être consommés aussi fréquemment que le lait de vache.

La teneur en calcium des substituts de lait, de yaourt et de fromage Koko est aussi élevée que celle des produits à base de lait de vache.

Régimes végétaliens

De nombreuses personnes portées par des motivations sanitaires, environnementales et de bien-être animal décident de devenir végétaliennes. Les végétaliens doivent impérativement trouver d’autres sources de calcium, vitamine B12 et iode, des nutriments essentiels. La vitamine B12 aide à prévenir l’anémie et à maintenir le bon fonctionnement du système nerveux. Elle est naturellement présente dans les produits d’origine animale et doit donc être intégrée en complément dans un régime végétalien.

Il est recommandé aux végétaliens de consommer des aliments riches en vitamine B12 au moins deux fois par jour afin d’atteindre une quantité de 3ug/jour ou de prendre des suppléments de vitamine B12 (10ug/jour ou 2000ug/semaine). L’iode joue un rôle essentiel dans la fonction thyroïdienne. Compte tenu de la difficulté de trouver des aliments végétaliens contenant de l’iode, la Vegan Society recommande de prendre des suppléments d’iode qui ne sont pas fabriqués à base d’algues.

Tous les substituts de lait, yaourt et fromage Koko conviennent aux végétaliens et sont enrichis en calcium, en vitamine D2 (pour faciliter l’absorption de calcium) et en vitamine B12. En outre, le lait Koko Super Milk est également une source d’iode.

Si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet, rendez-vous sur www.vegansociety.com.

Régimes flexitariens

Environ 34% des foyers Français se disent aujourd’hui flexitarien, c’est-à-dire qu’ils consomment majoritairement des produits végétariens, mais qu’ils mangent de temps en temps de la viande. Les flexitariens entendent mener un mode de vie plus sain en se détachant de leur dépendance à la viande et en réduisant leur impact environnemental sur la planète.

Ce régime alimentaire est potentiellement plus riche en vitamines, minéraux et fibres alimentaires, et est aussi plus faible en graisses et en calories. Toutefois, les flexitariens doivent eux aussi être attentifs à l’apport de vitamine B12 et de fer. Le fer joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement du système sanguin et du système immunitaire. La viande rouge est particulièrement riche en fer. Les personnes qui n’en consomment pas doivent trouver des sources alternatives.

Les céréales enrichies, les légumes à feuilles vert foncé, les légumineuses, les fruits secs et le pain complet sont de bonnes sources de fer d’origine végétale. La consommation de végétaux riches en fer et en vitamine C (agrumes, tomates, poivrons, brocoli) facilitera l’absorption du fer. Le cas échéant, les flexitariens devront prendre un complément. Tous les substituts de lait, de yaourt et de fromage Koko sont enrichis en calcium, vitamines D2 et B12.

Si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet, rendez-vous sur : www.nhs.uk/live-well/eat-well/the-vegetarian-diet/.

Tous les substituts de lait, yaourt et fromage Koko conviennent aux végétaliens et sont enrichis en calcium, en vitamine D2 (pour faciliter l’absorption de calcium) et en vitamine B12.